Des ressources pour vous aider dans votre vie nomade, des études de cas de technomades français et américains, ainsi que des bons plans !
J’écris cet article dans la salle de réception de mon hôtel à Casablanca, Maroc.
Ce que j’appelle « Technomadisme » c’est le fait de pouvoir voyager à plein temps tout en vivant de ses revenus générés par des business sur Internet. Dans cet article, je vous donne des pistes pour bien démarrer dans ce domaine…
En 2011, j’ai publié l’ouvrage « La Sous-Traitance Accessible A Tous© » dans lequel je fourni des conseils et des stratégies pour bien gérer son externalisation. Aujourd’hui, je donne la possibilité à des revendeurs (blogueurs, webmasters, webmarketeurs…) de toucher une commission sur la vente de mes produits.
Vous pouvez lire mon interview « Portrait d’un Technomade en devenir » sur le blog Presse Citron en cliquant ici.
(Merci à Fabrice du blog Instinct Voyageur et à Eric de Presse Citron pour la publication !)
Pour cet article présenté sous forme d’interview, je laisse la main à Fabrice, voyageur et auteur du blog Instinct-voyageur.
Bonjour Fabrice, peux-tu te présenter ?
Fabrice du blog Instinct Voyageur
Salut Yann. Je suis l’auteur du blog Instinct Voyageur qui traite du voyage en indépendant. J’ai déjà fait plusieurs longs voyages et expatriations par le passé. J’ai lancé ce blog depuis un an afin qu’il finance un nouveau long voyage. C’est chose faite depuis quelques mois : Instinct Voyageur finance entièrement mon voyage et même un peu plus.
Surtout, j’essaye de transmettre à travers récits et conseils pratique l’envie de l’ailleurs. Afin que ceux qui le désirent franchissent le pas !
Peut-être que comme moi vous considérez que vous n’avez pas assez de temps pour votre projet, car vous saturez d’informations à traiter et de tâches à accomplir ?
Bloguer dans le métro c’est une « image ». L’idée c’est d’essayer de rentabiliser un minimum notre temps quand on est dans les transports. De travailler dans une « continuité » plutôt que par « sessions » de 4H dédiées par exemple.
L’environnement change, et notre façon de bosser avec. J’ai remarqué qu’en essayant de rédiger un article dans les transports je synthétise plus. Je vais droit à l’essentiel en listant mes idées clés, sans chercher à trop les développer.
On trouve plus facilement l’inspiration en changeant de décors qu’en stagnant pendant des heures devant un écran de PC. Des nouvelles idées surgissent, et on se « vide la tête » en les notant de suite.
Vous pouvez m’ajouter comme ami, ou visiter ma page Facebook.
Les articles de mon blog sont accessibles sur ces supports, ainsi que des ressources supplémentaires. Voici pourquoi :
En tant que chef de projet internet, j’ai plusieurs fois fais appel à des prestataires externes, français et étrangers.
Développeur PHP, rédacteur web, manager off-shore, graphiste freelance… Beaucoup de métiers se prêtent bien à la sous-traitance, et les entreprises qui s’y adonnent se sont multipliées ces dernières années.
Il est possible de tirer parti d’une mission externalisée pour appliquer un « effet de levier » à son activité. Par exemple pour enrichir son offre en proposant des produits ou services qui ne relèvent pas de son coeur de métier. Ou encore pour « industrialiser » des process à grande échelle. Bien gérée, la sous-traitance peut permettre de faire exploser son business.
Il est tout aussi possible de se planter. Une communication mal cadrée avec vos prestataires, ou un mauvais choix lors du recrutement de freelances peut vous coûter du temps et des sous, surtout s’il faut reprendre plusieurs fois le travail déjà effectué.
Je n’ai pas publié d’article sur Digital Nomad depuis quelques semaines déjà, car je me consacre à la rédaction de mon guide sur la sous-traitance, dont je prévois la sortie pour fin janvier février.
J’y dévoilerai mon expérience dans ce domaine, aussi bien en ce qui concerne la sous-traitance en France, mais aussi à l’étranger (Madagascar et Roumanie notamment).
J’ai découvert le premier livre de Tim Ferriss, La semaine de 4 heures
Le best-seller de Tim Ferriss, présenté ici sous sa 2ème édition, regroupe plusieurs thèmes liés au style de vie :
– Entrepreneuriat : comment sortir du salariat métro/boulot/dodo, trouver une idée de business, tester son marché, automatiser le fonctionnement de l’entreprise, gérer ses sous-traitants off-shore…
– Développement personnel : travailler plus efficacement pour se libérer du temps et profiter de la vie, de ses passions.
– Voyages et nomadisme : un business 100% on-line peut être géré de n’importe où dans le monde, ce qui permet de voyager en parallèle sur le long terme.
Dans cet article, je vais décrire deux approches bien différentes, voire opposées, que l’on peut constater dans la façon d’aborder le travail.
La philosophie de vie du « digital nomad » vise la liberté maximale, et l’épanouissement personnel sans forcément passer par un besoin de possessions matérielles : grosse voiture, belle maison ou encore un costume haut de gamme. L’idée étant plus de posséder le minimum de choses, afin de pouvoir voyager léger et avec le moins de contraintes possibles. Chaque objet emporté est soigneusement sélectionné car indispensable : sac à dos, PC portable ou netbook, quelques affaires de rechange…
Ce mode de vie se développe pas mal ces derniers temps aux USA et en Australie (avec le phénomène des « backpackers »), et ça commence – timidement encore – à faire son apparition en France…